Comment importer une voiture japonaise RHD et JDM au Québec
Il est possible d’importer au Quebec des véhicules RHD et JDM (Japanese domestic market) du japon, le véhicule doit avoir 25 ans et il sera importable et plaquable au Québec.
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Il est possible d’importer au Quebec des véhicules RHD et JDM (Japanese domestic market) du japon, le véhicule doit avoir 25 ans et il sera importable et plaquable au Québec.
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On vous pardonnerait de penser que la compagnie californienne Tesla a inventé la voiture électrique et qu’elle a vendu des millions de voitures à travers le monde à des clients de la classe moyenne.
http://www.youtube.com/watch?v=Px2OuSP5lJI
Toutefois, selon Adam Jonas, qui est analyste chez Morgan Stanley, ce n’est que du tapage publicitaire d’un fabricant de voitures électriques qui est à bout de souffle. Dans la réalité, Tesla n’a pas vendu 100.000 voitures dans son histoire. Pas même 50 000, bien que dans une lettre aux actionnaires Tesla a promis d’augmenter la production de 1 000 voitures par semaine d’ici la fin de cette année.
Bien sûr, Tesla a également promis de commencer la production de son second modèle, le Model X, en fin d’année dernière. Hélas, l’assemblage du véhicules prototype du modèle X est maintenant seulement prévue pour la fin de cette année. La production pourrait commencer au printemps prochain. Si vous êtes l’un des 10 000 acheteur qui a donné un acompte sur le X, vous allez recevoir votre voiture à l’automne de l’année prochaine si tout va bien. Si vous vous attendez à ce que le troisième modèle de Tesla soit au prix promis dans la gamme de 35,000 $, alors vous allez devoir attendre au moins jusqu’à vers la fin de cette décennie.
Pour importer une Nissan Leaf au Canada, vous pouvez nous joindre au bureau 1-450-252-0352 ou sur cellulaire ((514) 978-7064 pour avoir plus de renseignements.
Toutefois, si vous souhaitez être propriétaire d’un véhicule électrique dans les 35.000 $ offert par un constructeur automobile qui a vendu plus de 100.000 véhicules électriques, nous vous conseillons de considérer les très bien équipée Nissan Leaf SV qui se vend dans les 35.000 $ et nous pouvons trouver des véhicules d’occasion moins cher et nous occuper de l’importation pour vous, renseignez-vous au 1-450-252-0352 ou sur cellulaire ((514) 978-7064! Nissan ne fait pas de promesses sur la Nissan Leaf SV, sauf dire que dès maintenant vous pouvez acheter ce que Nissan appelle «la voiture électrique le plus populaire au monde».
Si vous voulez une voiture électrique, vous allez être heureux avec la Leaf. Nissan dit que «95 pour cent des clients sont prêts à recommander la voiture à des amis.» Le bouche à oreille a aidé Nissan atteindre la barre des 100.000 véhicules vendus en janvier dernier alors que la Leaf était sur le marché depuis trois ans. Ce fut une réussite majeure, une étape que Tesla est à des lieux de réaliser.
Tesla dit que son usine dans le Nevada sera capable de soutenir les ventes de 500.000 véhicules par an d’ici 2020 – avec le troisième modèle représentant la majeure partie de ces ventes. Je suis un peu sceptique concernant Tesla parce que je l’ai vu ces sortes d’entreprises avant – Fisker, Ballard Power Systems, Coda, Better Place – et leurs promesses relégués aux oubliettes de l’histoire. Et ne vous méprenez pas, j’aime beaucoup la Tesla, la compagnie offre de très beaux modèles, ce qui peut attirer ceux qui sont à la base réticent aux voitures électriques et qui n’aiment pas les petites voitures comme la Leaf, mais ce n’est pas demain que la compagnie à Elon Musk va devenir un jouer majeur dans l’industrie de l’automobile, ils ont encore beaucoup d’étape à franchir. Je ne suis pas seul. Certains analystes, comme Dean Frankel de Lux Research, disent que le scénario le plus probable pour les ventes de véhicules Tesla est de 240.000 par an. La demande mondiale pour les véhicules électriques, serait d’environ 400 000 en 2020, selon lui.
Pour atteindre son objectif, dit Frankel, «Tesla se doit prendre une part importante de l’ensemble du marché du véhicule électrique en 2020.» C’est peut probable, pas avec tant d’autres fabricants de véhicules électriques établies sur le marché et encore moins avec une deuxième génération moins cher de Nissan leaf dans les showrooms. Aussi, je ne doute pas de la Leaf et la capacité de Nissan non seulement de vendre des véhicule, mais accompagner également ses propriétaires pendant des années.
Plus que tout, ceux qui me doute devrait examiner le bilan de Tesla. Nissan est non seulement rentable, mais il a une présence mondiale et beaucoup d’actifs. Tesla n’est aucune de ces choses; ses actifs sont à peu près équivalent à ses engagements à ce stade. Si vous voulez une voiture électrique, la Leaf est la meilleure affaire pour une voiture à quatre places. Elle est vraie, elle est fiable et elle vient d’un constructeur automobile prouvé. La Leaf est abordable. Vous pouvez avoir une Nissan Leaf pour moins de 25.000 $. Si vous voulez une Tesla, la Model S, vous allez payer près de trois fois plus cher. Bien sûr, les ventes de véhicules électriques ne compte que pour à peine une fraction de marché des véhicules neufs au Canada, de sorte que nous avons cherché d’autres offres, comprenant l’antithèse de la Leaf, la Jaguar XKR-S. Vous trouverez également des milliers de dollars en réductions sur le pick-up Ram, la Chevrolet Volt et le Q70 d’Infiniti.
Source: Nissan, Tesla Motor, Globe and Mail
Nous recevons plusieurs demandes pour importer des voitures JDM (Japan Domestic Motor) munies d’un volant à droite (RHD – Right Hand Drive), voici ce que le site de la SAAQ nous donne comme information:
Le 24 avril 2010, un nouvel arrêté ministériel interdisant l’accès au réseau routier aux véhicules munis d’un volant à droite est entré en vigueur. Contrairement aux deux arrêtés précédents, qui avaient une durée de 180 jours, ce nouvel arrêté est permanent.
Exemptions
Ce nouvel arrêté prévoit les mêmes exemptions que les arrêtés précédents, à une exception près. Ainsi, les véhicules munis d’un volant à droite pouvant circuler au Québec sont les suivants :
Véhicules immatriculés à l’extérieur du Québec (en visite au Québec);
Véhicules fabriqués 25 ans et plus avant la date de la demande d’accès au réseau;
Véhicules lourds, véhicules-outils et véhicules appelés à faire des arrêts répétitifs le long d’un chemin pour un travail qui vise un service public;
Véhicules qui appartiennent à une école de conduite;
Véhicules achetés avant le 29 avril 2009 et immatriculés avant le 31 mars 2011.
Nouvelles dispositions
Les propriétaires de véhicules achetés avant le 29 avril 2009 qui n’ont pas pu procéder à leur immatriculation en raison des arrêtés ministériels 2009-05 et 2009-15 avaient jusqu’au 31 mars 2011 pour le faire. Chaque propriétaire est responsable de fournir la preuve que le véhicule a été acheté avant le 29 avril 2009. Cette disposition s’applique également aux véhicules légers (connus sous le nom de « Kei »).
Procédure à suivre
Les documents originaux démontrant que la date d’achat est antérieure au 29 avril 2009 devront être déposés chez un mandataire en vérification mécanique ou dans un point de service de la Société, qui les feront suivre au siège social pour vérification et authentification.
Une fois authentifiés, les documents seront retournés au propriétaire, accompagnés de la décision de la Société. Si la décision est favorable, le propriétaire pourra poursuivre les démarches habituelles applicables à tout véhicule importé, dont la vérification mécanique.
Restriction aux zones de 70 km/h pour les véhicules légers (« Kei ») munis d’un volant à droite
Les véhicules légers munis d’un volant à droite pour lesquels une limitation à 70 km/h a été imposée en décembre 2009 pourront de nouveau, à la demande du propriétaire, accéder à l’ensemble du réseau. La plaque à circulation restreinte (préfixe C) pourra être remplacée par une plaque d’immatriculation commerciale ou de promenade. De plus, si le véhicule a été acheté avant le 29 avril 2009, l’accès au réseau sera autorisé, sur présentation des pièces justificatives. La procédure à suivre est la même que celle décrite précédemment.
Rappels
Les véhicules légers importés du Japon (« Kei ») n’étaient soumis à aucun essai de collision avant le 1er octobre 1998. À ce titre, ils n’offrent pas le même niveau de sécurité que les véhicules de promenade. La SAAQ recommande d’user de prudence lorsque vous circulez à bord d’un véhicule léger et d’éviter, autant que possible, les chemins publics dont la vitesse affichée est de plus de 70 km/h.
Les véhicules visés par l’interdiction de circuler sur le réseau routier sont des véhicules équipés d’un volant à droite; ils ne sont pas conçus pour circuler sur le réseau routier québécois. En effet, la visibilité du conducteur n’est pas optimale, ce qui peut nuire aux manoeuvres de conduite et à l’établissement du contact visuel entre le conducteur et les autres usagers de la route.
Une étude réalisée par la SAAQ et portant sur les accidents survenus en 2007 et en 2008 a démontré que l’utilisation de ces véhicules augmente de 30 % le risque d’être impliqué dans un accident.
Un communiqué de presse émis par Ministere des Transport du Quebec et la SAAQ le 29 Avril
dernier nous informe qu’un arrêté ministériel est en vigeur à partir du même jour qui interdit
l’accès aux chemins publiques des voitures avec une conduite à droite pour 180 jours.
L’impact est énorme sur les communautés qui partagent cette passion. Entre autres
les JDM (Janapese Domestic Market), qui sont des voitures importées du Japon.
Vous pourrez trouver ici une discussion traitant du sujet, ainsi que le communiqué en question:
Discussion sur l’arrêté ministériel
Ce site servira de plate-forme pour rassembler et gérer les différents groupes
et individus désirants s’opposer à cette interdiction.
Vous voulez vous exprimer sur ce sujet, le Forum Montréal Racing a une section dédié
C’EST ASSEZ – organisation d’une manif de tuners contre le ban des RHD
Entrevue sur les RHD à 98.5FM avec Benoît Charrette à l’émission En voiture
Incroyable comment le gouvernement du Québec a le tour de mettre des industries dans l’embarras et d’infantiliser sa population.
Arrêté numéro AM 2009-05 de la ministre des Transports en date du 14 avril 2009
Code de la sécurité routière
(L.R.Q., c. C-24.2)
CONCERNANT l’accès aux chemins publics des véhicules
munis d’un poste de conduite à droite
LA MINISTRE DES TRANSPORTS,
VU le premier alinéa de l’article 633.1 du Code de la
sécurité routière (L.R.Q., c. C-24.2), suivant lequel le
ministre des Transports peut, par arrêté, après consultation
de la Société de l’assurance automobile du Québec,
restreindre ou interdire, pour une durée maximale de
180 jours, l’accès aux chemins publics à tout modèle ou
à toute catégorie de véhicule qui constitue un risque
pour la sécurité des personnes ou des biens;
VU le premier alinéa de cet article qui prévoit le droit
pour tout intéressé de transmettre des commentaires à la
personne désignée à l’arrêté dans les 90 jours de sa
publication à la Gazette officielle du Québec;
VU le premier alinéa de cet article suivant lequel le
ministre peut par arrêté, à l’expiration des 180 jours,
rendre la restriction ou l’interdiction permanente;
VU le premier alinéa de cet article suivant lequel une
restriction ou une interdiction édictée en vertu de cet
alinéa entre en vigueur à la date de la publication
de l’arrêté;
VU le quatrième alinéa de cet article qui prévoit que
l’obligation de publication prévue à l’article 8 de la Loi
sur les règlements (L.R.Q., c. R-18.1) ne s’applique pas
à un arrêté pris en vertu de cet article;
VU qu’il appert, après consultation de la Société,
qu’elle est en faveur d’interdire, pour une durée de
180 jours, l’accès aux chemins publics aux véhicules
munis d’un poste de conduite à droite parce qu’ils constituent
un risque pour la sécurité des personnes ou des biens;
CONSIDÉRANT QU’il y a lieu d’interdire, pour une
durée de 180 jours, l’accès aux chemins publics aux
véhicules munis d’un poste de conduite à droite pour les
motifs invoqués par la Société;
ARRÊTE CE QUI SUIT :
1. L’accès aux chemins publics est interdit aux véhicules
routiers munis d’un poste de conduite à droite à
l’exception :
1° des véhicules immatriculés au Québec avant le
29 avril 2009;
2° des véhicules immatriculés à l’extérieur du Québec;
3° des véhicules fabriqués avant le 1er janvier 1971;
4° des camions, des souffleuses à neige et des véhicules
de transport d’équipement au sens du Règlement
sur l’immatriculation des véhicules routiers édicté par le
décret 1420-91 du 16 octobre 1991;
5° des véhicules appelés à faire des arrêts répétitifs le
long d’un chemin dans le cadre d’un travail visant un
service public;
6° des véhicules-outils;
7° des véhicules routiers appartenant à une école de
conduite ou à un établissement qui est titulaire d’un
permis pour l’enseignement de la conduite de camions
lourds délivré en vertu de l’article 10 de la Loi sur
l’enseignement privé (L.R.Q., c. E-9.1).
2. Les véhicules routiers immatriculés avant le
29 avril 2009, au moyen d’un certificat d’immatriculation
temporaire ou d’une plaque d’immatriculation amovible,
ne peuvent se prévaloir de l’exception prévue au paragraphe
1° de l’article 1.
3. Tout intéressé peut transmettre ses commentaires
portant sur le présent arrêté avant le 28 juillet 2009,
à monsieur Mark Baril, Société de l’assurance automobile
du Québec, 333, boulevard Jean-Lesage, C-4-21,
C.P. 19600, Québec (Québec) G1K 8J6, courriel
Mark.Baril@saaq.gouv.qc.ca
4. Le présent arrêté entre en vigueur le 29 avril 2009.
Il est abrogé le 26 octobre 2009.
La ministre des Transports,
JULIE BOULET
51643
Nadine Filion, Journal Les Affaires
Trouvez l’erreur : la voiture est immatriculée au Québec, mais son volant se trouve à droite. De moins en moins inhabituel, en fait.
Il se vend au Québec de plus en plus d’autos à prix dérisoire, à la base destinées uniquement au marché japonais. Un pays où l’on conduit à droite, mais où les véhicules roulent aussi de l’autre côté de la route.
Difficile de quantifier la tendance, mais on sait que des milliers de ces autos, appelées JDM, pour Japanese Domestic Market (JDM), circulent au Québec. On sait aussi que le phénomène commence à inquiéter la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ), qui y voit un danger, et l’Office de la protection du consommateur, qui découvre des pratiques frauduleuses.
Des autos à 10 000 $
Lorsque le phénomène a débuté, il y a une dizaine d’années, ces véhicules étaient chers et réservés à quelques privilégiés, soutient Ben Woo, organisateur du Salon Sport Compact Performance, qui s’est déroulé le mois dernier au Stade olympique.
” Aujourd’hui, il s’importe tellement de JDM que les prix demandés ici sont similaires à ceux du Japon “, dit-il. Une voiture sur 10 en montre au Salon était une JDM, selon lui.
Pour importer un véhicule avec conduite à droite, vous pouvez me contacter, je me nomme Olivier Lambert et vous pouvez me joindre au bureau 1-450-252-0352 ou sur mon cellulaire ((514) 978-7064. Nous pouvons vous aider dans tout les étapes d’importation d’un véhicule avec conduite à droite ou non.
Plusieurs petites entreprises, qui faisaient jusqu’à présent le commerce de pièces d’autos japonaises, se sont converties en importateurs de véhicules. ” Elles proposent des JDM pour aussi peu que 10 000 $ “, dit George Iny, président de l’Association pour la protection des automobilistes.
Et on parle de modèles rares ici. ” Ceux qui cherchent à attirer l’attention sont à la bonne place au volant de ces voitures “, dit Alexandre Crépault, un Montréalais propriétaire d’une Nissan Skyline.
Tour de passe-passe juridique
Comment une province qui a vécu un véritable psychodrame lorsqu’est venu le temps de simplement légiférer sur le virage à droite au feu rouge peut-elle laisser circuler des voitures qui ne sont pas adaptées à ses routes ?
C’est que les JDM bénéficient d’un étrange passe-droit. L’importation de véhicules non conformes aux Normes de sécurité des véhicules automobiles du Canada est autorisée par Transports Canada lorsque ceux-ci sont âgés de 15 ans.
Au milieu des années 1980, Nissan lançait une nouvelle Skyline, qui est devenue rapidement un véhicule fétiche auprès des amateurs de performance. Malheureusement, la Nissan Skyline n’était pas vendue en Amérique du Nord.
La seule façon de s’en procurer une au pays était donc d’attendre que la voiture célèbre ses 15 ans. C’est ainsi que la vague d’importation a débuté, il y a une dizaine d’années.
Aujourd’hui, les Canadiens en profitent avec la Skyline, mais aussi avec d’autres nipponnes inconnues ici, dont des mini-autos – surnommées jidosha au Japon, ou kei-car en anglais.
Au Canada, l’importation de véhicules de 15 ans et plus a substantiellement augmenté. Depuis 1982, le nombre de véhicules de cette catégorie est passé de 10 072 à près de 20 000.
Cependant, les autorités fédérales sont incapables de dire combien de ces autos sont des conduites à droite. À la SAAQ non plus, on ne peut quantifier le nombre de JDM qui circulent sur les routes du Québec.
Tout au plus, la SAAQ estime à 350 le nombre de Nissan Skyline immatriculées au Québec depuis 2004.
Risque de collision accru de 40 %
L’importation de ces JDM inquiète la SAAQ. ” Leur conduite à droite rend les manoeuvres de dépassement dangereuses “, dit Gaétan Bergeron, chef du service de l’ingénierie des véhicules à la SAAQ.
” Il m’a fallu une semaine pour m’habituer à manier le levier de vitesse de la main gauche “, ajoute Alexandre Crépault.
Une étude menée au printemps en Colombie-Britannique, où le phénomène des véhicules japonais est plus marqué en raison de la proximité du pays, a révélé que les automobiles avec volant à droite courent une risque de 40 % plus élevé d’être impliquées dans une collision que les véhicules avec volant à gauche.
” Le délai moyen pour qu’un accident survienne après l’acquisition d’un véhicule avec conduite à droite est de 223 jours, contre 705 jours pour une conduite à gauche “, rapporte Peter Cooper, porte-parole de l’Insurance Corporation of British Columbia.
Selon ce dernier, 200 véhicules avec conduite à droite seraient importés chaque mois dans la province de l’Ouest.
Le Code de la route à la rescousse ?
Autre inquiétude pour la SAAQ : les JDM disposent souvent d’autant de chevaux-vapeur qu’une Porsche, mais se vendent à beaucoup moins cher. ” Voilà qui rend accessibles des voitures très puissantes, dit M. Bergeron. Souvent, les conducteurs n’ont pas beaucoup d’expérience au volant et sont très téméraires. ”
La SAAQ espérait que le gouvernement fédéral légifère et fasse passer l’âge d’importation des véhicules non conformes de 15 à 25 ans, comme c’est le cas aux États-Unis. Le milieu s’attendait à des consultations en ce sens cet automne, mais Transports Canada a confirmé qu’aucun amendement n’a encore été officiellement présenté.
La SAAQ tente malgré tout de freiner le mouvement, du moins au Québec. L’inspection provinciale obligatoire pour tout véhicule importé commence à exiger, pour les JDM, certaines modifications techniques. Aussi, ” nous analysons le Code de la route afin d’y trouver des articles généraux qui pourraient nous aider, dit M. Bergeron. Le dossier nous préoccupe et nous souhaitons le régler au plus vite – nous ne voulons pas nous faire accuser d’avoir trop attendu, s’il arrivait quelque chose. “