Nous pouvons vous aider dans votre quête du véhicule de vos rêve :) contactez moi ! vous pouvez avoir des détail sur les voiture Hybrid que vous pouvez voir dans ce document sur le site Autos Sans Frontières Spécial autos : acheter une auto neuve aux USA 7 mars 2008 Reporter: Elsa Babaï Si vous avez récemment acheté une auto neuve aux États-Unis, vous avez peut-être fait face à certaines difficultés. Cela devient en fait de plus en plus compliqué d’acheter chez nos voisins du sud. Cela a commencé avec des fabricants qui ont donné l’ordre aux concessionnaires américains de ne plus vendre de voitures aux Canadiens. Et, depuis janvier, certains manufacturiers imposent de nouvelles contraintes sur l’importation d’autos au Canada.
Note : En plus des contraintes sur la lettre de rappel, certains manufacturiers imposent aussi des limites sur l’application des garanties au Canada. Pour avoir plus d’informations sur les garanties qui s’appliquent au Canada lors de l’importation d’une automobile au Canada, visitez le site web de l’Association pour la protection des automobilistes, section anglaise : www.apa.caLa réglementation est devenue tellement compliquée que l’Association pour la protection des automobilistes conseille fortement aux consommateurs qui veulent acheter un véhicule aux États-Unis de faire affaire avec un courtier.
L’émission de journalisme enquête (JE) présente un reportage sur les gens qui importe des véhicule américain au Québec, c’est amusant car lors des premières seconde de l’annonce diffusé à TVA on peut y voir mon Blog:)
j’ai aucune idée de ce que sera le reportage! mais selon moi comme ces types d’émissions sont toujours à la recherche de sensationnalisme ils vont probablement présenter le pire des cas d’importation: un homme qui s’est fait avoir a l’os , sinon une personne qui a importé un véhicule et qui s’est ramasser avec un citron, une personne qui importe une auto sans vérifier sa provenance, sans faire de Carfax sur le véhicule et qui se ramasse avec un véhicule avec des dettes ou des problèmes mécaniques.
Sinon ils ont surement fait des appel planté en contactant des compagnie comme la notre tout en posant des questions pour essayer de nous prendre en défaut avec des questions nébuleuse ou qu’on ne peut répondre dans l’immédiat ne vous laisser pas leurré ce type d’émission souvent présente le pire des cas pour essayer de faire peur ou choqué monsieur tout le monde afin d’alimenter les quottes d’écoute. comme tout le monde je suis curieux de voir leur reportage et de voir ci ils seront fiable et qu’ils auront de l’éthique
Trouvez l’erreur : la voiture est immatriculée au Québec, mais son volant se trouve à droite. De moins en moins inhabituel, en fait.
Il se vend au Québec de plus en plus d’autos à prix dérisoire, à la base destinées uniquement au marché japonais. Un pays où l’on conduit à droite, mais où les véhicules roulent aussi de l’autre côté de la route.
Difficile de quantifier la tendance, mais on sait que des milliers de ces autos, appelées JDM, pour Japanese Domestic Market (JDM), circulent au Québec. On sait aussi que le phénomène commence à inquiéter la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ), qui y voit un danger, et l’Office de la protection du consommateur, qui découvre des pratiques frauduleuses.
Des autos à 10 000 $
Lorsque le phénomène a débuté, il y a une dizaine d’années, ces véhicules étaient chers et réservés à quelques privilégiés, soutient Ben Woo, organisateur du Salon Sport Compact Performance, qui s’est déroulé le mois dernier au Stade olympique.
” Aujourd’hui, il s’importe tellement de JDM que les prix demandés ici sont similaires à ceux du Japon “, dit-il. Une voiture sur 10 en montre au Salon était une JDM, selon lui.
Pour importer un véhicule avec conduite à droite, vous pouvez me contacter, je me nomme Olivier Lambert et vous pouvez me joindre au bureau 1-450-252-0352 ou sur mon cellulaire ((514) 978-7064. Nous pouvons vous aider dans tout les étapes d’importation d’un véhicule avec conduite à droite ou non.
Plusieurs petites entreprises, qui faisaient jusqu’à présent le commerce de pièces d’autos japonaises, se sont converties en importateurs de véhicules. ” Elles proposent des JDM pour aussi peu que 10 000 $ “, dit George Iny, président de l’Association pour la protection des automobilistes.
Et on parle de modèles rares ici. ” Ceux qui cherchent à attirer l’attention sont à la bonne place au volant de ces voitures “, dit Alexandre Crépault, un Montréalais propriétaire d’une Nissan Skyline.
Tour de passe-passe juridique
Comment une province qui a vécu un véritable psychodrame lorsqu’est venu le temps de simplement légiférer sur le virage à droite au feu rouge peut-elle laisser circuler des voitures qui ne sont pas adaptées à ses routes ?
C’est que les JDM bénéficient d’un étrange passe-droit. L’importation de véhicules non conformes aux Normes de sécurité des véhicules automobiles du Canada est autorisée par Transports Canada lorsque ceux-ci sont âgés de 15 ans.
Au milieu des années 1980, Nissan lançait une nouvelle Skyline, qui est devenue rapidement un véhicule fétiche auprès des amateurs de performance. Malheureusement, la Nissan Skyline n’était pas vendue en Amérique du Nord.
La seule façon de s’en procurer une au pays était donc d’attendre que la voiture célèbre ses 15 ans. C’est ainsi que la vague d’importation a débuté, il y a une dizaine d’années.
Aujourd’hui, les Canadiens en profitent avec la Skyline, mais aussi avec d’autres nipponnes inconnues ici, dont des mini-autos – surnommées jidosha au Japon, ou kei-car en anglais.
Au Canada, l’importation de véhicules de 15 ans et plus a substantiellement augmenté. Depuis 1982, le nombre de véhicules de cette catégorie est passé de 10 072 à près de 20 000.
Cependant, les autorités fédérales sont incapables de dire combien de ces autos sont des conduites à droite. À la SAAQ non plus, on ne peut quantifier le nombre de JDM qui circulent sur les routes du Québec.
Tout au plus, la SAAQ estime à 350 le nombre de Nissan Skyline immatriculées au Québec depuis 2004.
Risque de collision accru de 40 %
L’importation de ces JDM inquiète la SAAQ. ” Leur conduite à droite rend les manoeuvres de dépassement dangereuses “, dit Gaétan Bergeron, chef du service de l’ingénierie des véhicules à la SAAQ.
” Il m’a fallu une semaine pour m’habituer à manier le levier de vitesse de la main gauche “, ajoute Alexandre Crépault.
Une étude menée au printemps en Colombie-Britannique, où le phénomène des véhicules japonais est plus marqué en raison de la proximité du pays, a révélé que les automobiles avec volant à droite courent une risque de 40 % plus élevé d’être impliquées dans une collision que les véhicules avec volant à gauche.
” Le délai moyen pour qu’un accident survienne après l’acquisition d’un véhicule avec conduite à droite est de 223 jours, contre 705 jours pour une conduite à gauche “, rapporte Peter Cooper, porte-parole de l’Insurance Corporation of British Columbia.
Selon ce dernier, 200 véhicules avec conduite à droite seraient importés chaque mois dans la province de l’Ouest.
Le Code de la route à la rescousse ?
Autre inquiétude pour la SAAQ : les JDM disposent souvent d’autant de chevaux-vapeur qu’une Porsche, mais se vendent à beaucoup moins cher. ” Voilà qui rend accessibles des voitures très puissantes, dit M. Bergeron. Souvent, les conducteurs n’ont pas beaucoup d’expérience au volant et sont très téméraires. ”
La SAAQ espérait que le gouvernement fédéral légifère et fasse passer l’âge d’importation des véhicules non conformes de 15 à 25 ans, comme c’est le cas aux États-Unis. Le milieu s’attendait à des consultations en ce sens cet automne, mais Transports Canada a confirmé qu’aucun amendement n’a encore été officiellement présenté.
La SAAQ tente malgré tout de freiner le mouvement, du moins au Québec. L’inspection provinciale obligatoire pour tout véhicule importé commence à exiger, pour les JDM, certaines modifications techniques. Aussi, ” nous analysons le Code de la route afin d’y trouver des articles généraux qui pourraient nous aider, dit M. Bergeron. Le dossier nous préoccupe et nous souhaitons le régler au plus vite – nous ne voulons pas nous faire accuser d’avoir trop attendu, s’il arrivait quelque chose. “
pour avoir une fiche complète des différence des prix canadiens vs les prix américain sur les véhicule vous pouvez télécharger ce fichier PDF Liste de PRIX – Notes – • L’étude a été effectuée à la fin du mois d’octobre 2007 et est basée sur les prix 2008 disponibles sur les sites Internet des constructeurs américains et canadiens. • Les versions des véhicules à l’étude se comparent par leur configuration, leur motorisation et leur équipement offert. Ainsi, les suffixes utilisés par les constructeurs pour désigner une version spécifique ne sont pas mentionnés car ils diffèrent d’un pays à l’autre. • Les rabais gouvernementaux sur les véhicules à faible émission ou les véhicules hybrides ne sont pas considérés. • Les frais de transport et préparation (destination charge) ainsi que la taxe sur le climatiseur et les taxes sur les pneus sont aussi exclus. • Fait à considérer pour l’année-modèle 2008 : le système S.S.P.P. (système de surveillance de la pression des pneus) est standard et obligatoire sur tous les véhicules vendus aux États-Unis. • Constatation importante : les moyennes diffèrent selon les catégories de véhicules. De plus, les écarts de prix sont importants et parfois très marqués pour certains modèles. CAA-Québec Octobre 2007
A l’attention des rédacteurs des chroniques affaires et finance:
La forte augmentation des importations de véhicules réduit les prix au Canada, selon un économiste de la Banque Scotia TORONTO, le 26 nov. /CNW/ — TORONTO, le 26 nov. /CNW/ – Les importations de véhicules en provenance des États-Unis ont fortement augmenté depuis que le dollar canadien a dépassé la parité avec le dollar américain, ce qui a pour effet d’exercer une pression sur les ventes au Canada ainsi que sur le prix des voitures neuves et usagées, selon le dernier rapport sur le secteur mondial de l’automobile publié aujourd’hui par Études économiques Scotia.
Les Canadiens ont atteint un nouveau sommet en octobre, puisqu’ils ont importé 137 000 véhicules neufs et usagés des États-Unis, soit 21 % de plus que l’année antérieure, selon les données du Registraire des véhicules importés.
“Cette vague d’importations a été particulièrement marquée en octobre, les Canadiens ayant importé un nombre record de 24 873 véhicules, le double d’il y a un an, soit une hausse de 68 % par rapport au mois précédent, a déclaré Carlos Gomes, spécialiste de l’industrie automobile de la Banque Scotia. Ce bond des importations et l’écart entre le prix des véhicules canadiens et américains s’expliquent par la rapide appréciation du dollar canadien, et non par l’augmentation des prix de détail suggérés par les fabricants (PDSF) au Canada.
“En réalité, les prix des véhicules neufs canadiens n’ont pas vraiment changé entre 1998 et 2006 et ont même diminué de 5 % depuis le début de l’année, a ajouté M. Gomes. Cette situation s’explique par le fait que, même si les constructeurs n’ont pas ajusté leur PDSF au Canada, ils ont amélioré les incitatifs proposés et offert des ententes de crédit-bail et de financement plus alléchantes. D’ailleurs, les prix des transactions ont baissé, entraînés par une réduction de 8 % du nombre de véhicules utilitaires légers construits en Amérique du Nord.”
Si les PDSF appliqués à de nombreux véhicules restent 4 000 à 5 000 $ plus chers au Canada qu’aux États-Unis, la diminution des prix des véhicules neufs au Canada s’est accrue depuis le printemps, débouchant sur une baisse des prix des véhicules usagés, et en particulier des modèles de l’année dernière. Début novembre, l’indice des prix des véhicules usagés de la Banque Scotia a perdu 5 % par rapport à l’année dernière, stimulé par un recul de 8 % du prix des modèles d’un an.
L’impact potentiel sur les prix des véhicules usagés et des valeurs résiduelles explique largement pourquoi les constructeurs automobiles sont peu disposés à abaisser les PDSF, d’autant plus que le nombre de véhicules dont le contrat de location-bail arrive bientôt à échéance devrait faire un bond et atteindre un sommet de 550 000 unités en 2008, comparativement aux 470 000 unités enregistrées l’année dernière – le plus bas niveau sur cinq ans et près de trois fois plus d’unités que le nombre actuel d’importations originaires des États-Unis. De surcroît, le nombre de véhicules dont le contrat de crédit-bail arrivera à échéance l’année prochaine se chiffre à 14 %, un record pour l’ensemble du marché canadien (ventes de véhicules neufs et usagés combinées), ce qui laisse entendre que l’augmentation de l’offre exercera une pression sur les valeurs résiduelles.
Cela dit, admettant que les Canadiens exigent une baisse des prix des véhicules compte tenu des bonnes affaires qu’ils peuvent faire aux États-Unis, les constructeurs automobiles ont à nouveau encouragé les mesures d’incitation au début du mois, proposant des rabais pouvant atteindre 10 000 $ sur certains modèles et tentant ainsi d’inciter les Canadiens à ne pas se détourner du droit chemin et à acheter des véhicules au pays. Récemment, certains constructeurs ont aussi annoncé la baisse des prix de leurs tout nouveaux modèles 2008.
À l’examen des importations de véhicules usagés par province, il ressort que l’Ontario et la Colombie-Britannique importent à elles seules les deux tiers de tous les véhicules provenant des États-Unis, soit près de 20 % de plus que la part qu’elles représentent dans les ventes totales de véhicules automobiles du Canada. Selon nos estimations, au total, environ 40 % des véhicules usagés importés des États-Unis sont destinés à l’Ontario, un pourcentage légèrement supérieur à la part de la province dans tout le parc de véhicules canadiens.
La Colombie-Britannique a pris tout le monde par surprise; en effet, 27 % de tous les véhicules importés au Canada sont destinés à cette province, soit plus du double que la part qu’elle représente dans toutes les ventes au Canada. La proportion élevée des importations de la Colombie-Britannique s’explique par la grande population de Vancouver et du Lower Mainland ainsi que par la proximité de la région avec les principales villes du Nord-Ouest américain, et en particulier Seattle.
Par ailleurs, les importations de véhicules usagés américains affichent des hausses modérées au Québec et dans la plupart des régions du Canada Atlantique. À titre d’exemple, si, depuis 2004, les importations de véhicules ont triplé dans tout le Canada, au Québec, les hausses relevées sont nettement plus modestes et sont souvent le fait de l’augmentation des importations des plus grands concessionnaires. Pendant ce temps, au Canada Atlantique, seul le Nouveau Brunswick affiche une augmentation à deux chiffres des importations originaires des États-Unis. Cela dit, même avec ce bond, les importations des États-Unis ne représentent qu’une petite proportion des ventes totales de la province.
“À l’avenir, le secteur de l’automobile continuera à connaître une désinflation même si les constructeurs automobiles refusent d’abaisser les PDSF. Cette position s’explique par le fait que, les tendances macroéconomiques continuant à faiblir aux États-Unis, les prix des véhicules usagés feront l’objet de pressions à la baisse de l’autre côté de la frontière, a précisé M. Gomes. Cette conjoncture devrait à nouveau stimuler les importations au Canada, à condition que le dollar canadien reste proche de la parité, un bon pari compte tenu des solides facteurs économiques fondamentaux du Canada.”
Les ventes annuelles de véhicules neufs, quant à elles, ont chuté en Amérique du Nord pour s’établir à 18,7 millions d’unités en octobre, une baisse par rapport à la moyenne de 19,0 millions d’unités enregistrée au cours des deux mois précédents.
Au Canada, les ventes ont progressé de presque 2 % en octobre, inversant la tendance à la baisse observée le mois précédent par rapport à l’année antérieure. En dépit de cette amélioration, les ventes annuelles ont totalisé 1,57 millions d’unités en octobre, un chiffre bien inférieur au record de 1,77 million comptabilisé en août. En fait, au cours des deux derniers mois, les achats sont passés en dessous de la barre des 1,60 million d’unités, les consommateurs semblant s’écarter du droit chemin du fait qu’ils prévoient une baisse des prix des véhicules.
Aux États-Unis, les achats sont restés modestes par rapport à l’année antérieure, et ce, pour le cinquième mois consécutif, les volumes étant réduits par les bouleversements qui frappent actuellement le marché de l’immobilier américain, ainsi que par le record des cours du pétrole.
Études économiques Scotia propose à sa clientèle une analyse approfondie des facteurs qui façonnent les perspectives du Canada et de l’économie mondiale, notamment l’évolution macroéconomique, les tendances des marchés de change et des capitaux, le rendement des produits de base et de l’industrie ainsi que les enjeux relatifs aux politiques monétaires, fiscales et gouvernementales.
J’ai fait cette trouvaille en naviguant cette nuit! un combat extrême entre une une Bugatti Veyron et un jet Typhoon!!
Si jamais vous avez quelques dollars qui traine dans le fond de votre tiroir une Bugatti Veyron a une valeur d’environ 1 800 000$ Canadien et elle sont très rare sur le marché d’occasion même pratiquement inexistante . Présentement il y en a 2 a vendre dans le monde entier soit une en France et l’autre à Rome en Italie!
Qui sera l’heureux gagnant de cette course infernal? à vous de regarder ce vidéo!
Je suis un oiseau de nuit et souvent quand je travail sur mon site j’écoute la radio et surtout les lignes ouvertes pendant la nuit, j’aime ce type de radio et écouter les citoyens s’exprimer sur différents sujet! Donc il y a quelques jours je me suis décidé à appeler pour m’exprimer sur un sujet d’actualité mais finalement celui ci a été complètement dévié vers mon site et l’importation de voiture des États-Unis vers le Québec! je ne suis pas fou et j’ai vue l’opportunité qui s,offrais a moi donc j’en ai profité de cette fenêtre nocturne radiophonique pour plugger la business et mon site :)
J’ai trouvé cette excellent article sur l’importation de voiture américaine au Québec que j’aimerais partager avec vous la source de ce reportage se trouve ici L’achat d’un véhicule aux Etats-Unis Oui ou non par Benoit Charette La question revient régulièrement dans l’actualité depuis quelques semaines. Est-ce que cela vaut la peine d’aller se chercher une voiture neuve aux États-Unis. Pour ceux qui ont un peu de mémoire, il y a à peine plus de cinq ans, ce sont les Américains qui profitaient de notre dollar à 63 sous pour venir faire des emplettes chez nous. Le phénomène avaient pris tellement d’ampleur que certaines associations de concessionnaires automobiles avaient interdits à leur membre de vendre des voitures à des acheteurs américains, pour garder le quota de véhicules pour les acheteurs locaux. Depuis peu, on voit les Canadiens qui traversent la frontière pour aller économiser plusieurs milliers de dollars. Selon des concessionnaires installés de l’autre côté de la frontière dams l’état de New York, l’économie moyenne pour un véhicule familial de 20 000 à 30 000$ tourne autour de 5 000$. Ce montant devient encore plus important pour des modèles haut de gamme
Comment cela fonctionne Si vous achetez un véhicule aux États-Unis vous devez avoir un véhicule conforme aux normes canadiennes et cela peut prendre quelques jours, il faut être patient. La grande majorité des véhicules fabriqués depuis 2002 peuvent traverser la frontière pratiquement sans modifications. Mais attention, cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de frais associés.
Généralement, le consommateur s’en tire pour quelques centaines de dollars, un coût moindre que les économies réalisées. Il faut cependant bien s’informer car certaines compagnies annulent les garanties du constructeur si la voiture traverse la frontière américaine, d’autres appliques la même politique pour les garanties prolongées. Pour mieux connaître les véhicules admissibles au Canada, je vous conseille de consulter le site du Registraire des véhicules importés qui dresse la liste des véhicules qui pouvant être importé sans modification mécanique. La chose est possible et les économies sont réelles, mais il faut s’armer de patience, car les procédures gouvernementales ne sont pas toujours de tout repos. Pour ceux qui sont moins pressés, plusieurs constructeurs automobiles nous ont indiqués avoir négocié avec la maison-mère pour ajuster les prix 2008 à la nouvelle réalité de la devise canadienne. D’ici la période des fêtes, on verra un certain nombre de changements, mais ce n’est pas tout le monde qui va s’ajuster. [voir Tableau 2] Benoit Charette est co-propriétaire et rédacteur en chef de l’Annuel de l’Automobile 2007. Il anime également l’émission En Voiture tous les dimanches à MIDI (en reprise à 19 :00) sur les ondes du 98,5 FM de Montréal et le réseau Corus Québec ou via internet au www.985fm.ca
Dans son blogue que je lie religieusement, le journaliste automobile Jacques Duval pète sa coche solide sur les prix des voitures au canada!!
voici l’intégral de son texte que vous pouvez trouver ici
UN APPEL AU BOYCOTT October 28th, 2007
Fiez-vous sur les constructeurs automobile pour raconter n’importe quoi en réponse à la crise qui sévit présentement autour de la disparité des prix entre le Canada et les États-Unis. Hier encore, je discutais du problème (qui commence à avoir des apparences de scandale) avec un vendeur d’automobiles et vous auriez dû entendre la litanie d’explications qu’il m’a débité. Tout ce qu’il m’a dit sortait tout droit du dernier mémo de sa compagnie qui lui a fourni des arguments pour répondre aux consommateurs frustrés de voir leur dollar traité comme une devise du tiers monde par le marché automobile. On lui avait bourré le crâne à en faire exploser sa matière grise.
En essence, ce vendeur et d’autres comme lui racontent toujours les mêmes sornettes : les voitures livrées au Canada possèdent beaucoup d’accessoires de série qui sont facultatifs aux États-Unis et les équipements liés à la sécurité sont plus nombreux sur les modèles distribués chez-nous que chez l’oncle Sam. Même en admettant que ce soit vrai, cela justifie-t-il des différences pouvant aller jusqu’à 30% comme c’est le cas avec une Audi A8 proposée au Québec à 100 000 $ contre 68 130 $ chez un concessionnaire de Burlington. C’est nous rire en pleine face que d’essayer de faire passer une somme aussi considérable par le chemin des options. Même Porsche qui a été le premier constructeur a retranché entre 10 000 et 20 000 $ de ses voitures vendues au Canada est encore à près de 30 % au-dessus des prix américains. Ainsi, une Cayman de base coûte 49 400 $ de l’autre côté de la frontière contre 63 500 $ au Québec. Allons voir maintenant du côté de voitures plus abordables comme la Volkswagen Jetta 2,5. Vous pourriez en acheter une à Plattsburg pour 17 990 $ alors qu’un modèle identique vous obligera à débourser 24 975 huards ici, soit un « vol » de 7000 $ ou 40%. Comme dirait mon oncle, « y’a toujours des limites à se faire fourrer ».
J’ose espérer que les automobilistes vont se serrer les coudes et boycotter les concessionnaires automobile jusqu’à ce qu’ils ajustent leur prix à l’échelle américaine. De grâce, n’achetez pas de voiture neuve jusqu’à nouvel ordre. Je sais, malheureusement, que les québécois sont mous quand il s’agit de poser un geste collectif et j’espère que pour une fois ce sera l’exception à la règle. Je ne dis pas d’aller détruire les vitrines des concessionnaires automobiles, seulement de les boycotter. Car, il n’y a pas d’assurance contre la perte de profits.
est-ce la version finale de la Porsche Panamera 2010?
Comme vous savez l’émission de télévision de Radio-Canada ont fait une excellent reportage sur l’achat d’une voiture neuve aux États-Unis je vous présente ici un lien direct vers le segment importation vous pouvez clicker directement le lien et ci jamais celui ci ne fonctionne pas : ouvrir votre lecteur windows media player . saisir le lien faite une click droit sur le lien un menu sortira veuillez peser sur copier et aller dans votre media player clicker fichier, ouvrir une URL un fenêtre ouvrira et dans l’espace blanc click droit un menu sort peser sur coller et OK. le sehment jouera automatiquement http://www.radio-canada.ca/Medianet/2007/CBFT/LaFacture200710021930_1_1.asx
Quatre Torontois ont décidé d’intenter une poursuite de deux milliards de dollars contre GM, Honda, Nissan et Chrysler.
Leur demande de recours collectif allègue que ces constructeurs ont conspiré depuis deux ans pour vendre leurs véhicules plus cher au Canada qu’aux États-Unis, souvent de plusieurs milliers de dollars.
La requête en recours collectif a été déposée au nom de tous les consommateurs canadiens qui ont acheté un véhicule entre août 2005 et août 2007.
Un tribunal devra toutefois autoriser ce recours collectif avant que la requête en dommages puisse être entendue.
Plus précisément, la requête allègue que les fabricants nommés dans le recours ont conspiré pour éviter que des Canadiens se précipitent chez les concessionnaires américains où le même véhicule coûte souvent moins cher. georges Ivy et Simon Durivage
Mais selon Georges Ivy, président de l’Association pour la protection des automobilistes (APA), interviewé par Simon Durivage à RDI, c’est difficile de parler de conspiration.
« On n’a pas d’évidence qu’ils se sont entendus entre eux. Par contre, ils ont mis de la pression sur leurs concessionnaires. Alors, on parle d’une chaîne verticale, pas horizontale, pour justement faire entrave à ceux qui voudraient acheter un véhicule aux États-Unis pour l’amener ici. Puis ces constructeurs-là – principalement Chrysler, Honda, Acura – sont peut-être les leaders de ces pratiques anticoncurrentielles en ce domaine, » affirme M. Ivy. Honda
L’avocat Jonathan Ricci, impliqué dans la demande de recours collectif, est d’accord.
Selon lui, plusieurs constructeurs et leurs concessionnaires dressent des obstacles pour décourager les Canadiens d’acheter une voiture aux États-Unis. L’avocat cite par exemple le refus de certaines compagnies de respecter les garanties une fois qu’un acheteur traverse la frontière avec son véhicule.
L’APA s’attendait à ce que, tôt ou tard, il y ait une contestation juridique relativement à ce genre de pratiques. Georges Ivy, président de l’Association pour la protection des consommateurs
L’Association croit que le refus d’appliquer la garantie sur le véhicule au Canada est une pratique qui ne semble pas fidèle à la nature d’un libre-échange.
Selon lui, les pratiques sont différentes d’un constructeur à l’autre. Il donne en exemple les constructeurs européens qui ont une politique nord-américaine, en appliquant la garantie, que le véhicule soit acheté aux États-Unis ou au Canada.
M. Ivy croit toutefois que la demande de recours collectif en fera réfléchir certains: « Je crois que les autres constructeurs qui voulaient peut-être copier la formule de Chrysler ou Honda vont maintenant réfléchir ».