Archives dans août 2008

Importation de voitures américaines au Québec

Importation de voitures américaines au Québec

Bonjours!

Si vous atterrissez sur ce blogue en utilisant Google, c’est que vous êtes certainement à la recherche d’un deal pour une voiture importée des États-Unis, sinon vous avez trouvé une voiture sur ebay et vous vous demandez comment l’importer au Québec!

Chez Amerxport nous nous occupons de tout ce qui est importation de véhicules de A à Z, nous nous spécialisons dans les forfaits clef en main, c’est-à-dire que nous trouvons le véhicule pour vous tous en respectant les spécifications du véhicule que vous nous avez demandé, et ce, tout en gardant à vue votre budget!

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Si vous avez trouver un véhicule sur ebay et que vous avez besoin d’aide nous pouvons nous occuper de toute les transactions pour vous : nous allons prendre contact avec le vendeur nous allons effectuer la transaction, nous allons faire transporter la voiture jusqu’à la douane, nous allons passer le véhicule à la douane avec toutes les fiches de titre et de rappel (on s’occupe de toute la paperasse aussi) après nous allons transporter le véhicule à St-Hyacinthe pour l’inspection et les modifications à faire s’il y a lieu!

la procédure prend environ 2 à 3 semaines et le véhicule est livré clef en main, légal et plaqué à votre nom au Québec :)

Donc si vous êtes intéressé à transiger avec nous, il est possible nous contacter pour discuter de votre prochaine voiture.

Vous pouvez me joindre tous les jours entre 16h00 et 19h00 au 1-450-252-0352 ou mon cellulaire ((514) 978-7064 je me nomme Olivier

PS: Ils est possible que nous puissions importé des camions, remorques, bateaux, véhicules récréatifs, wanabago, etc. informez-vous !

Véhicules neufs : 20% plus cher au Canada

Véhicules neufs : 20% plus cher au Canada

Malgré la force du dollar canadien depuis un an, rien n’y fait. Les véhicules neufs continuent de se vendre ici 20 % plus cher qu’aux États-Unis.

Une recherche du Soleil démontre d’ailleurs que les écarts de prix sont demeurés importants ces derniers mois. En moyenne, les consommateurs canadiens et québécois ont payé 20 % de plus que leurs vis-à-vis américains depuis le début de 2008 pour une voiture neuve.

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Sur les camions, les véhicules dits sports utilitaires (SUV) et les voitures plus luxueuses, les écarts de prix peuvent même parfois atteindre 40 %.

«C’est inacceptable», lance Geor­ge Iny de l’Association pour la protection des automobilistes (APA). Selon ce dernier, les rabais offerts ces temps-ci aux consommateurs américains n’ont rien à voir avec ceux proposés de ce côté-ci de la frontière.

«Et venez surtout pas me dire que les constructeurs n’ont pas eu le temps de s’ajuster au dollar canadien. S’ils ne bougent pas, c’est parce que c’est très payant pour eux», jure M. Iny.

Hier, par exemple, un concessionnaire Toyota américain de Plattsburgh écoulait ses Camry LE à 20 829 $US. À Québec, la même voiture se vendait 24 755 $ CAN. La Solara se vendait 42 000 $ CAN contre 34 000 $US dans le Vermont.

Chez Nissan, le Rogue se vendait 30 % plus cher ici. Idem pour la Rabbit chez Volkswagen et le F-150 chez Ford.

Le constructeur plus près de la parité ? GM semblait sur la bonne voie hier avec ses modèles Cobalt et Equinox.

Le CAA-Québec n’en revient toujours pas des différences mar­quées des prix. «Ce n’est vraiment pas normal», soutient la porte-parole de l’organisme Ro­xan­ne Héroux.

En plus de noter des écarts de prix importants, le CAA-Québec a cons­taté que les frais de transport et de préparation imposés par les cons­tructeurs au Canada étaient exorbitants. On parle de frais supplémentaires variant entre 30 et 60 %.

Par exemple, dans le cas d’une Subaru Outback construite au Japon, les frais imposés ici sont de 1495 $ contre 645 $ aux États-Unis, soit un écart de 57 %.

Chez Option consommateurs, on suit le dossier de près. «Les excuses des constructeurs ne tiennent plus la route, dit le directeur général Michel Arnold. Cela prou­ve surtout que quelque chose ne fonctionne pas.»

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Recours collectif

Signe des temps, un recours collectif de 2 milliards $ a été déposé l’an dernier en Ontario contre GM, Honda, Nissan et Chrysler ainsi que la Corporation des associations de détaillants d’automobiles (CADA) du Canada.

Les plaignants soutiennent que les constructeurs visés ont conspi­ré pour vendre plus cher au Canada des véhicules neufs, question de diminuer l’attrait d’aller magasiner aux États-Unis.

Ils avancent que les constructeurs ont convenu de ne pas honorer les garanties des véhicules achetées de l’autre côté de la frontière, privant ainsi les Canadiens de rabais variant entre 25 et 35 %.

Possible d’acheter aux États-Unis

Acheter un véhicule neuf aux États-Unis n’est pas de tout repos. Surtout depuis que les constructeurs ont donné la con­signe à leurs concessionnaires de ne pas vendre à des Canadiens. Et les règles de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA)? «Les constructeurs utilisent l’ALENA quand cela fait leur affaire», constate George Iny de l’APA. Par contre, il est beaucoup plus facile de passer par un concessionnaire importateur. L’en­treprise Mystique Ventures de Moncton, au Nouveau-Brunswick, se spécialise dans ce genre de transactions. «Tout est légal», assure le propriétaire de l’entreprise. En moins de deux, on peut y acheter n’importe quel véhicule neuf importé des États-Unis. En quelques jours, la voiture est livrée dans votre cour. Les rabais varient selon le modèle choisi, entre 4000 $ et 20 000 $. Les garanties? Elles sont pour la plupart honorées par les constructeurs au Canada. George Iny croit qu’il y a de bonnes affaires à réaliser. «Les gens doivent cesser d’avoir peur. On peut acheter un véhicule aux États-Unis. Ce n’est pas un crime!»

Pierre Couture

Le Soleil

Au tour des concessionnaires de se tourner vers les É.-U.

Après les consommateurs s’étant précipités aux États-Unis pour acheter et importer des véhicules neufs en profitant du taux de change à leur avantage et des prix plus bas, voilà qu’un phénomène semblable touche maintenant les vendeurs de véhicules usagés, certains concessionnaires de la région de Sherbrooke n’hésitant pas à s’embarquer dans ce marché, qui pourrait toutefois être éphémère.

À Sherbrooke, des concessionnaires du Groupe Beaucage ainsi que les garages Val Estrie Ford et Toyota ont tâté cette avenue ces derniers mois pour regarnir leurs parcs de voitures usagées.

Plusieurs vendeurs de voitures usagées de Sherbrooke et la région ont aussi opté pour cette façon de faire dans la vente d’automobiles, mais cette politique, tout à fait légale, est devenue délicate également, seuls les véritables initiés réussissant à bien tirer leur épingle du jeu.

Précisons que parmi tous les concessionnaires et garagistes interrogés, tous parlaient de véhicules n’ayant jamais été accidentés.

Succès mitigé

Daniel Beaucage, du Groupe Beaucage, indique que quelques-uns des garages du Groupe ont acheté une trentaine de véhicules usagés aux États-Unis l’an dernier pour les vendre à Sherbrooke et dans la région.

«Dans certains cas, on a obtenu un succès, mais dans d’autres, le succès a été mitigé, notre Groupe a décidé de mettre fin à cette expérience qui n’a finalement duré que quelques mois», dit M. Beaucage.

Pourquoi?

«Parce que les Américains subissent le même phénomène des prix de l’essence que nous. Les petites voitures économes se vendent plus chères, et parfois encore plus qu’ici, tandis que les véhicules à consommation élevée ne trouvent pas plus preneurs ici, même à des prix plus bas; de plus, il faut tenir compte du coût des démarches pour l’importation, incluant la taxe de 6,1 pour cent pour les véhicules n’ayant pas été fabriqués en Amérique du Nord.»

Chez Val Estrie Ford, André Dionne indique qu’on a aussi tenté cette expérience, depuis un an, d’acheter des véhicules usagés aux États-Unis pour les revendre à Sherbrooke.

«Mais on ne peut pas dire que l’expérience est un succès», s’empresse-t-il de commenter.

Selon lui, le marché devient intéressant quand on parle de modèles de haute gamme qu’on a peine à vendre aux États-Unis.

Chez Sherbrooke Toyota, Michel Rousseau indique que son garage a acheté une dizaine de véhicules usagés sur le marché américain depuis six mois.

«C’est un marché qui tourne; il y a quelques années, les Américains venaient au Québec pour y acheter des voitures usagées. Mais avec la fluctuation du taux de change en notre faveur, c’est le contraire qui se produit et, très souvent, on retrouve des véhicules en meilleures conditions sur le marché américain, surtout lorsqu’elles proviennent des régions du sud.»

Selon M. Rousseau, les Québécois craignent souvent d’acheter un véhicule de provenance américaine parce qu’il fut un temps où le Québec importait des véhicules accidentés des États-Unis et que les garagistes «remontaient» avec des résultats parfois douteux.

«Mais quand on est concessionnaire, on est en mesure de faire inspecter rigoureusement les véhicules et d’obtenir leur historique complet pour s’assurer que rien n’a été modifié, comme l’odomètre, et qu’il n’a jamais été accidenté. Pas question d’acheter accidenté», dit M. Rousseau.

Sa fille, Danielle Rousseau, directrice des ventes, précise que ce marché risque de s’effriter assez rapidement puisque depuis septembre dernier, certains modèles Toyota ne peuvent être importés des États-Unis s’ils ne sont pas munis d’une clé d’ignition à puce.

La Tribune